Inès Duhard au Mondrian Cannes

Les valeurs et engagements d’Ines Duhard, jeune maman positive et responsable

Ce lundi 2 octobre, sur la terrasse ensoleillée du Mondrian Cannes, Madame Riviera s’est longuement entretenue avec Ines Duhard. L’entrepreneuse s’est livrée sur son mode de vie slow life, les valeurs et engagements qu’elle prône mais aussi et surtout sur son tout nouveau rôle de maman. Interview.

Le Mondrian Cannes nous a une seconde fois accueillies pour une toute nouvelle interview. Si l’entretien réalisé avec Myriam Zen s’est déroulé dans une suite de l’hôtel, celle-ci s’est effectuée spontanément, sur sa terrasse ensoleillée. Un lieu verdoyant, légèrement en retrait de l’agitation cannoise. Ce mois-ci, c’est l’entrepreneuse Ines Duhard qui s’est prêtée au jeu de l’interview. Tout sourire et à cœur ouvert, elle a confié son ressenti de maman sur le contexte environnemental actuel, et son développement personnel, quant à ses valeurs et engagements.

Madame Riviera : Tu es une entrepreneuse aux multiples casquettes… Peux-tu nous expliquer quelles sont tes missions au quotidien ?

Ines Duhard : J’ai ma société de stratégie digitale, Vibes Digitales, je suis prof’ en école de commerce, je donne des formations pour des entreprises. Je vais faire des recommandations de stratégies digitales et de community management. J’ai également ma société Vibes Nomades qui est une location de van pour des shootings photos et de la création de contenu. Je suis aussi présente sur les réseaux sociaux. Je partage mes passions pour le yoga, les voyages et ma petite vie de famille parce que je suis maman d’un petit garçon, Noam.

Tu es notamment appréciée pour ton mindset, très positif. D’où t’est venue cette philosophie de vie ?

Je pense que je suis née comme ça. On dit toujours que si tu te focalises sur l’énergie que tu as envie d’avoir, celle-ci viendra à toi. C’est vrai que je pense beaucoup de cette façon. Mais il ne faut pas croire que quand on est positif, on vit dans un monde de Bisounours et qu’il ne nous est rien arrivé. J’ai connu des choses pas toujours faciles. Mais j’ai décidé de dire merci à la vie, de tirer des leçons de tout ce que j’ai pu vivre.

En plus de ta positivité, tu as de grands principes environnementaux. Tu partages ainsi ton mode de vie slow life avec tes achats de seconde main, ta passion pour les vans… Que veulent dire ces valeurs pour toi ?

Maintenant, j’achète à 80 % de la seconde main. Je trouve beaucoup de plaisir dans le but de consommer autrement. Pour faire du bien à la planète, pour avoir la valeur des choses. Tout ça fait partie d’un développement personnel, grâce auquel j’ai envie d’être une meilleure personne. C’est pareil pour les vans et les aventures. Depuis le Covid, nous sommes beaucoup à vouloir changer de vie, il y a eu de grandes prises de conscience. Les gens ont voulu vivre en extérieur, parce qu’on a été privés de choses essentielles. Comme tout le monde, j’ai encore plus envie de profiter des valeurs simples de la vie. Quand je vois sur les réseaux sociaux tout ce qui touche au luxe, aux Fashion Weeks, je me sens encore plus éloignée de tout ça. Ce qui m’attire c’est la seconde main, le vintage, passer du temps en famille, avec mes grands-parents, la nature.

Depuis peu un peu plus d’un an, tu es maman d’un petit Noam. Quel impact a eu ton rôle de maman, dans ta vie ?

Noam, c’est mon petit rayon de soleil. Comme tout le monde, il ne faut pas croire que j’étais faite pour être maman au début. On se pose toujours la question « Mon Dieu, est-ce que je suis prête ? ». Une chose est sûre, ça a bousculé le fameux équilibre que j’avais trouvé avec mes voyages, ma carrière professionnelle, ma liberté et mon indépendance. Donc j’avais très peur au début. On n’est jamais prête à 100 %, on attend toujours le bon moment mais il n’y en a pas véritablement. A partir du moment où j’ai découvert que j’étais enceinte avec le test de grossesse, j’ai encore plus voulu être la meilleure version de moi-même. Afin d’être un exemple pour lui. J’ai encore plus fait attention à ce que je mangeais, à ce que je donnais à mon corps, à mon esprit. Donc j’ai voulu faire attention à moi-même car on sait que si nous sommes bien dans notre corps et dans notre tête, on va pouvoir être bien avec notre famille. Noam a presque un an et trois mois maintenant. Il est adorable, toujours en train de sourire, on l’appelle d’ailleurs « Bébé soleil ». Son arrivée a changé beaucoup de choses. On a envie qu’il soit fier de nous pour chaque chose que l’on fait, de laisser une trace et de donner l’exemple.

Penses-tu, en tant que maman, avoir des missions à accomplir envers ton fils ?

Je ne me mets pas trop de pression sur les épaules. En discutant avec des amis, je sais que beaucoup se posent la question de faire des enfants dans ce monde, dans le contexte actuel. De mon côté, vu que je suis très positive, je me dis que nos grands-parents ont connu des guerres mondiales. Il y aura toujours malheureusement des catastrophes naturelles dans le monde, et des choses qui ne vont pas. Donc j’ai évidemment envie de lui transmettre des valeurs simples comme trier ses déchets, les ramasser si on en voit par terre. Chacun a ses petites causes, moi c’est celle-ci qui me tient le plus à cœur, notamment sur les plages par rapport à notre passion pour le surf et l’océan. Pour moi, c’est juste du bon sens. De nos jours, il est important de faire du sport, de manger sainement, de trier ses déchets, encore une fois. De mon point de vue, ce ne sont pas de grandes missions, mais des valeurs et bases simples.

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